• Nom : Sanchez.
  
• Prénom(s) : Ailen.
  
• Surnom(s): Len.
  
• Âge : Vint ans.
  
• Nationalité : Espagnole.
  
• Date de naissance : 10 Mai
  

Physique & Caractère
Sur Hogwarts Imperium

Ma personnalité est qui je suis, tandis que mon attitude, dépend de qui vous êtes.

Malgré son jeune âge, la femme n'en paraît que plus âgé, devant ses traits fins et bien symétriques de femme. Un visage volontaire, bien découpé, elle ne passe que rarement inaperçu. Beauté espagnole, son accent ne fait qu’amplifier son charme exotique. Un teint légèrement bronzé par le soleil, autant hiver qu'été, elle fait souvent ombrage à cette ville terne et froide qu'est Londres. De long cheveux brun voir auburn sous certain angle, il semblerait que sa chevelure fine et douce comme de la soie, laisse entrevoir des tiges de flammes par une lumière bien trop rare en Angleterre. De grand yeux marrons, teintés verts par endroit, éclaircissent son visage que trop souvent sans sourire. Des sourcils fins et lisses au dessus, créé des airs quelques peu ténébreuses et froids. Un nez allongé, qui n'enlève pourtant rien à ses charmes, parcoure le milieu de sa mine afin de terminer sa course un peu rebondit. Ses lèvres sont rosés, pulpeuses, invitantes. Une frimousse plutôt ovale, quoique carré au niveau de la mâchoire, accentuant se trait particulier. Ailen n'est pas une femme très grande, il faut le dire. Trop souvent, elle doit se mettre sur la pointe des pieds pour voir devant elle, selon l'obstacle qui se dresse préalablement à elle, évidemment. Elle n'est pas non plus le genre à vouloir se faire remarquer, ce qui n'est pas vraiment difficile vue son poids qu'on dirait souvent : Trop léger. Il est vrai que pour sa grandeur, mademoiselle Sanchez se voit quelque peu mince. Pourtant, étrangement, elle possède tout de même une poitrine plutôt généreuse pour sa taille de guêpe. C'est sans doute la son seul atout féminin, puisque le reste est quasi inexistant en tant que forme. D'un naturelle sombre et discrète, elle poste habituellement des vêtements dans les tons de noirs ou bleus foncés, voir blanc rarement. Continuellement, qu'il fasse froid ou chaud, elle enfila sans le moindre scrupule sa veste en cuir noir qu'elle adora par dessus tout. Ayant une vie plutôt monotone et ennuyeuse de par sa famille de riche innocent, elle n'affiche que très rarement un sourire ou autre. Elle se montre également très dur d'approche sur le premier coup d'oeil. Elle sait d'ailleurs mieux que personne que les apparences ne veulent absolument rien dire. Même si sa joyeuse famille a beaucoup de moyen, ils ne sont pas plus heureux ou même intelligent que les autres. Elle n'est pas du genre à juger les autres, mais elle ne désire pas les connaître non plus pour s'en faire une opinion. Plutôt distante, elle n'a pourtant pas la langue dans sa poche. Toujours la réplique parfaite à la bouche, elle à tendance à ce faire d'avantage d'ami au masculin. Toujours un air sérieux sur la figure, il est difficile de savoir lorsqu'elle plaisante puisque rien ni paraît. Elle peut aussi bien vous monter un bateau afin de rire, alors que vous la croyez réellement. Ailen est franche, elle ne ment jamais. Que cela plaise ou non, vous aurez la vérité sans détour. Même si elle ne cherche pas la popularité ses traits de caractère, et son physique aussi, ont fait leur œuvre d'eux-même. À vrai dire, il est vrai qu'elle a tout de même beaucoup d'amis, pour une fille aussi renfermé. Le seul petit hic, serait qu'elle ne parle jamais pour rien dire. Donc, que ses amis n'en savent que très peu sur elle, la voyant parfois eux-mêmes comme une parfaite inconnue. Vrai, mademoiselle Sanchez n'est pas de ces femmes qui se plaignent constamment de leur sort ou de rien. Non, elle préfère garder tout cela pour elle-même, évitant ainsi de ternir son image de femme dur. Que de rare exception savent qu'elle est la fille d'un homme important. Pour le reste, ils croient que, comme eux, elle est une jeune fille issue de la rue. Car, en vérité, la plupart des connaissance de la jeune femme ne sont pas tout à fait des enfants de cœur. Plutôt contradictoire pour une gosse de riche comme elle n'est-ce pas? Elle qui devrait être une petite fille sans défaut et bien sage, voilà qu'elle se retrouve à être la véritable honte de sa famille.

Votre Histoire
Sur Hogwarts Imperium

Il n'y a que les traites que je crains plus que la peste.

~ Une cage doré. ~

Née en Espagne, Ailen y vécu ses plus belles années. Issu d'une famille plus que riche, son père n'était rien de moins qu'un *ambassadeur d'Espagne. Oui, rien que ça... Son statu dans la politique de ce pays n'aurait pu être plus élevé. Ainsi dont, il n'est pas dur de croire que la jeune mademoiselle Sanchez soit carrément née avec une cuillère en or dans la bouche. De plus, enfant unique, elle fut littéralement le centre d'attention dès son arrivé. Sa mère évidemment trop mère-poule, dignement espagnol, ne lâchait pas la petite d'une semelle. Tandis que son père lui, brillait pas son absence vu son travaille. Malgré tout, elle ne s'en était jamais plainte ou quoique ce soit dans le genre. Non, elle était bien trop occupé à jouir de tout et de rien. Elle n'avait qu'à lever le petit doigt pour obtenir immédiatement ce qu'elle désirait. Vivant dans son palace, et c'était le cas de le dire, elle n'avait jamais manqué de rien. Enfin, si ce n'était que des amis ou tout ce qui contraigne à la vie sociale d'une fillette. À vrai dire, enfermé constamment dans ce château, ses seuls sorties daignait à son école privé tristement réservé aux filles. Ne connaissant rien d'autre de la vie en général, cela ne lui manquait pas plus que cela, habitué à une solitude constante depuis son jeune âge. Mais comme tout compte de fée, un jour, il faut se réveiller.

~ Premier scandale ~

Ce n'est que vers l'adolescence de la jeune femme que les choses se gâchèrent de plus en plus. Pour commencer, la fillette se montrait de plus en plus renfermé sur elle-même. Ses parents prirent la chose sur le fait des absences de son père, alors que c'était simplement la lassitude d'avoir une mère comme seule amie ou connaissance. Rapidement, elle sentait le besoin de quitter ce palais, d'aller voir le monde. Seulement, à chaque fois, son père insistait pour qu'elle soit surveillé par l'un de ses gardes du corps ou autre. Pour seul excuse, il lui rappelait qu'il était quelqu'un de connu et de médiatisé. Vite fait, on pourrait alors s'en prendre à elle. Le plus pénible, c'est qu'elle n'avait le droit de rien faire. Elle devait toujours donné une image parfaite et exemplaire de sa personne, en tant que fille d'Ambassadeur, voilà son rôle. Selon elle, tout ceci n'était que mensonge et idioties. Personne n'était parfait, et pourtant, c'est ce qu'on lui demandant de refléter devant tout le monde. Une vie de mensonge dans sa belle cage en or. Ailen n'était définitivement pas faite pour ce genre de vie, et cela, elle s'en rendait bien compte à présent. Menotté, sur une chaise du poste de police, elle attendait patiemment que son cher père vienne la chercher après son arrestation. Rien de bien grave, elle s'était simplement fait prendre à fumer de la marijuana avec une de ses amies d'école. Monsieur Sanchez passait soudainement la porte, un air visiblement irrité sur le visage. S'avançant d'un pas ferme vers son unique enfant, il cogna durement du poing sur le bureau devant elle.

- Ailen Sanchez! Comment as-tu pu me faire ça? Hurla-t-il sans contenir sa rage. Tu n'es plus une enfant, et tu connais les risques de mon travaille. Les médias son devant la porte! Que vont-ils dire selon toi? Continua-t-il, rageant entre ses dents. La fille de l'ambassadeur est une criminelle? Il ne manquait plus que ça! Je t'avais fait confiance, je t'ai laissé partir sans escorte. Et voilà comment tu me remercie jeune fille?!

Pour le reste des mots, la jeune femme se boucha intérieurement les oreilles afin de ne rien entendre. Comme elle était désolé de ne pas être la petite fille parfaite à son papa. Comme elle était désolé de ne pas être celle qui aurait voulu avoir. Dans un sens, si elle avait voulu son attention, voilà qui était une chose réussit. C'était morte de honte qu'elle passa la porte du poste, accompagné de son père et de sa garde, tandis qu'elle se faisait aveuglé par les flash des journalistes qui avaient apprit la nouvelle. C'était là, le premier scandale de l'illustre famille Sanchez. Une fois revenu dans sa prison paradisiaque, l'homme imposant ne se gêna pas pour en remettre une couche, lui rappelant indéniablement qu'ils n'étaient pas comme les autres et que leurs moins faits et gestes étaient épiés. Ce qui était dramatique pour ses parents, se voyait plutôt amusant de son point de vue. Sa mère, trop hystérique hurlait de cesser de crier... Plutôt ironique n'est-ce pas? La jeune femme n'entendait strictement rien, ayant les écouteurs de son ipod dans les oreilles, alors que les deux abrutis n'avaient rien remarqués. Par moment, un sourire en coin faisait même surface devant cette cacophonie, suivit d'un train de musique sur le moment. Après la petite escapade qui c'était révélé un vrai désastre médiatique, la jeune femme c'était tenue à carreau depuis. Non pas qu'elle avait réellement eu le choix, mais plutôt que son père la faisait étroitement surveiller depuis. Quoique cela n'avait jamais empêché la jeune femme de quitter le nid une fois la nuit tombé, alors que tous dormait comme de vrai bébé. Il faut dire que les somnifère '' emprunté '' à l'infirmerie de l'école en aidait la chose.

~ Lorsqu'on coule, vaut mieux ne pas être seul. ~

Alors que les vagues du scandale s'étaient apaisés depuis des années, la famille restait tout de même en quelque sorte ébranlé par la chose. Comme quoi, ils prenaient toujours trop à cœur. Maintenant âgé de dix-neuf ans, la jeune femme ne s'était pas fait reprendre dans quoique se soit. Bien que parfois, ce ne fut que justesse. Évidemment, puisque rien n'est parfait, il y avait eu des hauts et des bas comme dans toutes les familles, mais rien qui ne se retrouva sur le papier des journaux ou sur le net. Un soir, elle annonça doucement à sa mère qu'elle désirait passé le week-end chez une amie, Sambre, et que les gardes du corps gêneraient probablement.

- Enfin, mon ange. Tu sais bien ce qui s'est produit la dernière fois que tu es partit sans eux... Laissa sous entendre sa mère, en remuant son thé à l'aide d'une cuillère.

- Maman... Ça fait plus de trois ans... On peut passer à autre chose maintenant? Supplia-t-elle sur le champ, sur une pique d'arrogance.

Pour seule réponse, sa mère prit l'ustensile et la cogna sur le front de la jeune femme. Elle poussa un petit cri de douleur, même si cela n'avait pas franchement été affligeant. Elle était plutôt blessé dans son orgueil dira-t-on. Malgré tout les arguments qu'elle eu pu utilisé, jamais elle ne gagna son point. À vrai dire, c'était mieux ainsi puisque son cher revenait dans ce week-end en question. N'ayant pas d'autre choix, elle partit finalement, bien accompagné des deux hommes gros comme des sofas, qui lui faisaient un peu peur à vrai dire. Cette fin de semaine n'était certes pas aussi amusante qu'elle aurait pu être avec les deux armoires à glaces qui suivaient mais quoiqu'il en soit, elle passa tout de même un bon moment avec son amie.

Le dimanche soir, la jeune revenu chez elle. Et lorsqu'elle ouvrit la porte, elle remarqua rapidement le vase brisé sur le sol, juste devant ses pieds. Un air incrédule sur le visage, elle fronça les sourcils et regarda soucieusement les hommes derrière elle. Sans un mot, ils prirent les devants, se demandant également se qui s'était passé. C'est en entendant les pleures de sa mère dans la cuisine qu'elle prit réellement la situation au sérieux. Allant la rejoindre, elle trouva la femme effondré sur le sol, tenant un journal dans les mains, à moitié déchiré. Bien qu'elle ne voulait pas le montrer, Ailen se voyait être une femme plutôt sensible. Elle prit doucement sa mère dans ses bras, s’assoyant juste à côté d'elle sur le quadrillage de la cuisine. La demoiselle tenta à plusieurs reprise de savoir ce qui se passait, mais chaque fois, ce n'était qu'un épais brouillard de mots incompréhensible qui sortait de la bouche de la femme sanglotante. Décidant finalement que la patience n'était plus une vert elle arracha, sans scrupule, le journaux que tenait sa mère. Sur le moment, elle ne trouva pas la raison, jusqu'à ce qu'elle retourne l'exemplaire et qu'elle vu la première page. Sur celle-ci, une photo de son père accompagné d'une jeune femme l'embrassant sur les lèvres, avec un énorme titre d'adultère. Stupéfaite, elle garda la bouche ouvert un moment, comme si elle ne voulait pas croire ce que disait ce papier.

Se rappelant avoir vu la voiture de son père dans l'entré du château, elle se leva prestement et sortit de la cuisine, entendant derrière elle les cris de sa mère qui tentait de la faire revenir. Montant les marches deux à la fois, elle poussa alors violemment la porte du bureau de son père. Elle le trouva debout devant la fenêtre, un ver de whisky dans la main droite et son alliance dans la main gauche. L'état du bureau était lamentable, Ailen comprit alors que c'était ici que sa mère avait déversé le plus gros de sa colère. Tout comme il l'avait fait trois ans plus tôt, les rôles s'inversaient subitement tandis qu'elle alla frapper de son poing sur le bureau avec colère.

- Comment as-tu pu lui faire ça?! Explosa-t-elle en l’imitant. Tu n'es plus un enfant, et tu connais les risques de ton travaille! Que vont-ils dire selon toi? Continua-t-elle, en prenant exactement le même ton que lui auparavant. L'ambassadeur, un enfoiré de première?! Il ne manquait plus que ça! Elle t'avais fait confiance, elle t'a laissé partir sans escorte. Et voilà comment tu la remercie jeune homme?!

À vrai dire, il était vrai qu'Ailen se rappelait mot pour mot le discourt qu'il lui avait offert par le passé. C'était pour le moins du dent pour dent. Plutôt fière d'elle, elle croisa les bras sur sa poitrine, attendant des explications sur le champ. C'était peut-être un excès de nostalgie, ou une simple constatation, mais étrangement, monsieur Sanchez se mit à rire doucement, en contemplant le regard dur de sa fille.

-Tu t'en souviens par cœur …? Prononça-t-il à demi voix.

Au moins, l'homme avait fait le lien semble-t-il. Tout de même, ce n'était pas ce dont elle avait envie d'entendre sur le moment. Folle de rage, elle lança le reste de la presse sur le visage de son père, qui fit tombé de ce fait son ver ainsi que son alliance sur le sol. Empoignant les poignets de son unique enfant de ces mains, il la regarda en face, soudainement durcit également.

- Ce qui se passe entre moi et ta mère ne te concerne pas. La seule chose dont tu dois être certaine, c'est que malgré tout, tu es ma fille, et que je t'aime. Voilà, la seule leçon que tu te dois d'en tirer. Articula-t-il sur un ton sévère.

Comme si sa colère n'était pas déjà suffisamment grande, elle se défit de lui et le poussa de ses paumes pour qu'il s'éloigne d'elle. Des larmes se mirent à couler le long de ses joues, tandis qu'elle pressait le pas vers la porte du grand bureau. Une fois sur le seuil, elle essuya passablement une des goûtes et se retourna vers elle.

- La seule chose dont je suis certaine, c'est que tu es un connard. Laissa-t-elle tomber. Si je dois retirer une quelconque leçon : C'est de ne jamais faire confiance à des gens qui nous sont proches, car se sont les premiers à nous trahir.

Claquant ensuite la porte derrière son passage, elle poussa un cri de rage. Sur le coup, l'envi de lui arracher les yeux la pressait trop pour prendre le risque d'y retourner. Suite à ce second scandale qui perturba la famille Sanchez, sa femme et sa fille prirent finalement la décision de partir du pays. Cette épisode fut douloureux pour Ailen, qui était là, impuissante devant la souffrance de sa mère. C'est par un matin que les deux femmes pliaient finalement bagages, pour partir en Angleterre. Monsieur Sanchez était posté sur le seuil de la porte, regardant les deux femmes de sa vies disparaître à jamais. Profondément désolé pour elles, malgré leur au revoir, le père proposa de leur envoyer régulièrement de l'argent, afin que jamais elles ne manquent de quoique ce soit.

~ Nouveau départ ~

Un ans passa depuis ce scandale. Incognito dans ce pays, les deux femmes vivent dans un Manoir près des boulevards principales. Personne ne semble faire le lien sur leur identité et ce n'est pas plus mal en fait. Ailen et madame Sanchez semblent avoir laissé le passé derrière elles, sans se retournés. La mère d'Ailen dû malgré tout suivre une thérapie car elle était au bord de la dépression depuis ce temps. Ne travaillant évidemment pas, c'était monsieur Sanchez qui veillait à la totalité de leurs besoins. Pendant ce temps, la jeune femme s'occupe de sa mère comme elle le peut, bien que parfois, cela soit au dessus des forces, elle ne lâche pas pour autant. Avec le temps, la jeune demoiselle se fit des amies, bien qu'ils ne soient pas vraiment fréquentable pour certain. Sa mère boit presque tous les soirs, et, indéniablement, la jeune femme évite la maison plus que tout. Malgré tout, jamais Ailen n'invite qui que se soit chez elle, ou ne parle de sa famille. Elle préfère rester dans le silence de l'ignorance, et c'est très bien comme ça. Être une parfaite inconnue à ces avantages vous savez? Au moins, aujourd'hui, elle ne vit plus dans un monde de mensonge et de tromperie. Elle peut enfin être elle-même, sans personne pour lui soutenir que c'est mal.

*Un ambassadeur est un représentant d'un État auprès d'un autre, ou auprès d'une organisation internationale. C'est le rang le plus haut au sein de la hiérarchie diplomatique.

Et Si on Faisait
Connaissance ?

• Pseudo ou prénom dans la vie réelle : Madame suffira.
  
• Votre âge : On ne demande pas ce genre d'information à une dame !
  
• Comment avez vous trouvé notre forum ? : J'ai mes secrets.
  
• Que pensez vous de notre forum ? : Bien.
  
• Niveau Rp : Je ne sais pas.
  
• Code qui est caché dans le règlement : Poudlard la grande école.